Les lettres finales, toujours précédées d’un point trahissent la nationalité de l’expéditeur. Petit rappel : une adresse électronique du genre marcdupont@machinchose.truc est « divisée » en deux parties : à gauche le nom (ou le surnom) qui révèle votre identité ; et à droite, le nom de l’organisme par lequel vous êtes connecté (souvent le fournisseur d’accès) se terminant par le suffixe national. Pour la France, il s’agit le plus souvent de .fr avec ses variations : asso.fr pour les associations, gouv.fr pour les ministères, tm.fr pour les marques déposées,…
Chaque pays a sa propre « griffe », pour le Royaume-Uni : .uk, pour l’Allemagne : .de, ou encore pour la Belgique : .be .
Pour tous les identifier : www.iana.org
Mais, il y a une petite exception : les Etats-Unis. Grands et précoces consommateurs d’Internet, ils ont le privilège de quatre domaines au lieu d’un : les sociétés commerciales concluent par .com, les universités par .edu, les grandes associations par .org et certains par .net (à noté que certains suffixes se sont depuis, ouvert à toute entreprise ou à toute personne, quelle que soit sa nationalité).